Hasse : Serpentes ignei in deserto

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© Ambronay Editions

Récompenses

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Compositeur parmi les plus joués du XVIIIe siècle, Hasse a jeté un pont entre baroque et classicisme, comme en témoigne Les Serpents de feu dans le désert. Pour interpréter cet oratorio d’une grande force expressive, Jérôme Correas a réuni des virtuoses de la vocalité baroque. Un enregistrement live et inédit.


Programme

  1. Introduzione
  2. Recitativo Eliab e Eleazar
  3. Aria Eliab
  4. Recitativo Moyses
  5. Aria Moyses
  6. Recitativo Josue
  7. Aria Josue
  8. Recitativo Angelus e Moyses
  9. Aria Angelus
  10. Recitativo Nathanael
  11. Aria Nathanael
  12. Recitativo Eliab,Emeazar e Moyses
  13. Aria Eleazar
  14. Recitativo Angelus e Moyses
  15. Aria Angelus
  16. Recitativo Josue e Eleazar
  17. Duetto Josue e Eleazar
  18. Recitativo Moyses
  19. Aria Moyses
  20. Epilogus

Solistes

Angelus : Valérie Gabail, soprano
Josue : Isabelle Poulenard, soprano
Eliab et Nathanael : Stéphanie d’Oustrac, mezzo-soprano
Moyses : Annette Markert, mezzo-soprano
Eleazar : Robert Expert, contre-ténor

Les Paladins, direction Jérôme Correas

Orchestre

Gilone Gaubert-Jacques, premier violon
Léonor de Recondo, Bérangère Maillard, Isabelle Perez, violons I
Françoise Duffaud, Guillaume Humbrecht, Diane Chmela, violons II
Gilles Deliege, Valérie Pronier, altos
Emmanuel Jacques, Camilo Peralta, violoncelles
Thomas de Pierrefeu, contrebasse
Nicolas Pouyanne, basson
Marc Wolff, théorbe
Frédéric Rivoal, clavecin et orgue
Jérôme Correas, clavecin


Presse

« Après nous avoir offert de belles Leçons de ténèbres de Porpora, Jérôme Correas poursuit son exploration du répertoire dit « galant », avec cet oratorio écrit pas le successeur de Porpora au poste de maître de chœur de l’Ospedale degli Incurabili, à Venise, le caro Sassone Hasse. Composé vers 1738, l’ouvrage traite un thème alors à la mode : pour punir l’incrédulité des Hébreux, Dieu leur envoie des serpents venimeux ; repentis et sauvés, les impétrants érigent un serpent de bronze commémorant l’évènement. […] Jérôme Correas parvient à dramatiser le propos et varier la dynamique sans jamais perdre de vue la nature prioritairement vocale de l’écriture (Correas est chanteur et cela s’entend) (…) Une belle découverte. »
Olivier Rouvière, Diapason, janvier 2007